Comparer les annonces

L'entreprise et son projet : valeur ajoutée économique et valeur ajoutée sociale

Notre valeur ajoutée

Être auprès de vous, aujourd’hui et demain pour vous assurer une vie sereine et confortable, en valorisant votre patrimoine immobilier au mieux de vos intérêts !

Notre mission

L’approche humaniste et experte proposée par Auxilio-Immo offre un accompagnement unique dans les évolutions et étapes de la vie.

Pour les plus jeunes il s’agit de vous décharger d’une préoccupation d’installation ou de changement de situation et de faire de cette étape un tremplin d’énergie pour l’avenir.

Pour les 30-70 ans, vous serez conseillés utilement pour une intégration de votre projet immobilier dans une gestion patrimoniale intelligente.

Pour les plus âgés, grâce à notre expertise sur les sujets immobiliers complexes, votre patrimoine immobilier devient source de vie, vous restez maître de votre avenir et vivez une retraite apaisée.

 

Zone d'intervention

France entière, avec un focus sur Paris, la petite couronne et le Val de Marne.

Mode de travail

Au plus près de nos clients, nous venons à vous.

Expertise

Viager, vente à terme et démembrement de propriété.

Gestion patrimoniale.

Credo

Honnêteté, compétence, rigueur, pour une relation de long terme.

Notre Equipe

Grégoire DAUGER

Grégoire DAUGER

Président, gérant

Grégoire DAUGER

Président, gérant

Après un riche parcours dans diverses entreprises privées et publiques à des postes de responsabilités en Gestion et Finance, investi dans le milieu associatif tourné vers les autres, intéressé par l'immobilier comme étant à la fois une valeur sûre, de long terme et tangible, mais aussi un produit d'épargne indispensable, et désireux de donner du sens à mon action entrepreneuriale, j'ai fondé Auxilio-Immo afin de répondre aux besoins particuliers des âgés à domicile, et plus largement afin d'apporter une autre vision de l'intermédiation immobilière. Convaincu que la valeur ajoutée ne se mesure pas uniquement par les flux financiers, l'objectif de mon action est de rendre chaque client heureux de ses choix, dès aujourd'hui, mais aussi sur le long terme, et de générer une valeur ajoutée sociale qui va bien au delà du périmètre d'Auxilio-Immo.

Serait-ce vous ?

Serait-ce vous ?

Compagnon

Serait-ce vous ?

Compagnon

Bientôt de nouveaux collaborateurs nous rejoindront, animés des mêmes valeurs !

Serait-ce vous ?

Serait-ce vous ?

Compagnon

Serait-ce vous ?

Compagnon

Bientôt de nouveaux collaborateurs nous rejoindront, animés des mêmes valeurs !

Serait-ce vous ?

Serait-ce vous ?

Compagnon

Serait-ce vous ?

Compagnon

Bientôt de nouveaux collaborateurs nous rejoindront, animés des mêmes valeurs !

Le bonheur par le travail, du sens dans l'économie.

Le Savetier et le Financier

Un Savetier chantait du matin jusqu’au soir :
C’était merveilles de le voir,
Merveilles de l’ouïr ; il faisait des passages,
Plus content qu’aucun des Sept Sages.
Son voisin, au contraire, étant tout cousu d’or,
Chantait peu, dormait moins encore :
C’était un homme de finance.
Si sur le point du jour parfois il sommeillait,
Le Savetier alors en chantant l’éveillait ;
Et le Financier se plaignait,
Que les soins de la Providence
N’eussent pas au marché fait vendre le dormir,
Comme le manger et le boire.
En son hôtel il fait venir
Le chanteur, et lui dit : « Or çà, sire Grégoire,
Que gagnez-vous par an ? – Par an ? ma foi, monsieur,
Dit avec un ton de rieur,
Le gaillard Savetier, ce n’est point ma manière
De compter de la sorte ; et je n’entasse guère
Un jour sur l’autre : il suffit qu’à la fin
J’attrape le bout de l’année :
Chaque jour amène son pain.
– Eh bien ! que gagnez-vous, dites-moi, par journée ?
– Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours
(Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes),
Le mal est que dans l’an s’entremêlent des jours
Qu’il faut chômer ; on nous ruine en fêtes :
L’une fait tort à l’autre ; et monsieur le curé
De quelque nouveau saint charge toujours son prône. »
Le Financier, riant de sa naïveté,
Lui dit : « Je vous veux mettre aujourd’hui sur le trône.
Prenez ces cent écus ; gardez-les avec soin,
Pour vous en servir au besoin. »
Le Savetier crut voir tout l’argent que la terre
Avait, depuis plus de cent ans,
Produit pour l’usage des gens.
Il retourne chez lui : dans sa cave il enserre
L’argent, et sa joie à la fois.
Plus de chant : il perdit la voix
Du moment qu’il gagna ce qui cause nos peines.
Le sommeil quitta son logis :
Il eut pour hôtes les soucis,
Les soupçons, les alarmes vaines.
Tout le jour il avait l’œil au guet ; et la nuit,
Si quelque chat faisait du bruit,
Le chat prenait l’argent. À la fin le pauvre homme
S’en courut chez celui qu’il ne réveillait plus :
« Rendez-moi, lui dit-il, mes chansons et mon somme,
Et reprenez vos cent écus. »

Jean de La Fontaine, Fable n° 2, Livre VIII

En images : http://bit.ly/2va31m3